Air pollution and Global Warming

Costica BRANDUS, Catalin CANCIU, Elena Maria EMANDI

Abstract


Dans l’article en question nous essayons de mettre en évidence et d’éliminer certaines ambiguïtés, souvent rencontrées dans la littérature de spécialité, concernant la définition de la notion de „pollution”, et de contribuer à la compréhension des causes du soi-disant „réchauffement global” et de sa manière de se manifester. En ce qui concerne la pollution, nous considérons qu’elle est causée seulement par des éléments nocifs résultés à la suite de l’activité humaine, de la société humaine, éléments qui ont pénétré dans le milieu naturel ce qui a détérioré ses qualités spontanées (voir aussi V. Tufescu, dans Petit dictionnaire encyclopédique, 1978). Les gaz et les cendres volcaniques, les gaz résultés à la suite de la décomposition des substances organiques, le pollen et les spores etc., ne sont pas des éléments polluants, ils font partie intégrante de la composition atmosphérique, de la lithosphère et de l’Océan Planétaire. On ne peut pas parler de pollution sur la Terre avant de l’apparition de l’homme, de la diversification de son activité. En ce qui concerne le réchauffement global, il ne peut être provoqué que par l’énergie du Soleil, qui l’a coordonné dès l’apparition de la Terre en tant que planète, mais aussi par la désintégration radioactive et l’inter-conditionnement réciproque des processus et des phénomènes qui ont lieu entre l’atmosphère terrestre et l’Océan Planétaire. L’effet de serre peut avoir un rôle mineur, de courte durée, local et, tout au plus, régional. On a constaté que la succession de certaines périodes plus froides avec d’autres plus chaudes de l’évolution géologique de la Terre ne correspond pas à la variation de la concentration de CO2 de l’atmosphère. Il ne faut pas, quand même, exclure certains effets négatifs sur le milieu naturel dûs à l’augmentation, sur des durées différentes, de la concentration du CO2 dans l’atmosphère, au-dessus de la limite normale (0,033%).


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